Aujourd'hui pas de point d'exclamation ni autres signes qui nous facilitent quelque peu l'écriture.
Je remonte, (à petite vitesse) vers le nord en traversant tout le centre du Maroc, assez peu touristique puisque les grands flux se font, soit par la cote, soit par Midelt et Er Rachidia pour la route des kasbahs et Merzouga.
De Marrakech donc, direction Beni Mellal et Azilal, les cascades d'Ouzoud puis Asrou, Sefrou le parc naturel de Tazzeka et Taza.
Et enfin Fès.
Cascades d'Ouzoud, un petit parfum d'Iguaçu et de Xochimilco
Archéologue en herbe mesurant des traces de dinausaures et pont naturel d'Imi n'Ifri
jeudi 23 octobre 2008
vendredi 17 octobre 2008
Toujours au sud
Après une visite de la vallée du Dadès et un petit tour à la casbah d'Amerdihil, je descend dès le lendemain plein sud par la vallée du Drâa.
Jusqu'à Zagora, paysage de djebel bien aride. Après Zagora où il a bien plu toute la soirée, le paysage change et devient peu à peu le désert.
Du reg et les premiers ergs, jolis tas de sable. Avec les pluies de ces derniers jours, le Drâa coule à nouveau, à tel point que la gendarmerie bloquera pendant 6 heures un gué entre Tamegrout et Tagounite.
Soirée bivouac au pied des dunes de l'Erg Lehoudi... et quelques difficultés pour sortir la voiture du sable le lendemain.
Et enfin au bout de la route Mhamid, la vraie porte du désert. Le goudron et la piste s'arrête et on entre au paradis des dromadaires.... enfin, maintenant, c'est surtout le paradis des 4x4!!
Retour à Ouarzazate, puis je visite Aït Benhaddou, kasbah décor de films grandeur nature. Laurence d'Arabie, le diamant du Nil, Gladiators y ont, entre autres été tournés.
Et enfin passage du Tizi-n-Tichka, le col dans le haut-Atlas entre Ouazazate et Marrakech et longue descente sur la palmeraie et Marrakech.
La ville n'a rien perdu de sa vitalité, bien au contraire. La place Jemma el Fna est toujours aussi trépidante avec quand même un certain changement. Il y a toujours les vendeurs de jus d'oranges et les gargotes, mais moins de conteurs et de marabouts et plus de musiciens. Par contre l'afflux de touristes et surtout de français et d'anglais acquéreurs de Riads dont l'écrasante majorité a été transformée en maisons d'hôtes a bien pourri les prix et les comportements.
Jusqu'à Zagora, paysage de djebel bien aride. Après Zagora où il a bien plu toute la soirée, le paysage change et devient peu à peu le désert.
Du reg et les premiers ergs, jolis tas de sable. Avec les pluies de ces derniers jours, le Drâa coule à nouveau, à tel point que la gendarmerie bloquera pendant 6 heures un gué entre Tamegrout et Tagounite.
Soirée bivouac au pied des dunes de l'Erg Lehoudi... et quelques difficultés pour sortir la voiture du sable le lendemain.
Et enfin au bout de la route Mhamid, la vraie porte du désert. Le goudron et la piste s'arrête et on entre au paradis des dromadaires.... enfin, maintenant, c'est surtout le paradis des 4x4!!
Retour à Ouarzazate, puis je visite Aït Benhaddou, kasbah décor de films grandeur nature. Laurence d'Arabie, le diamant du Nil, Gladiators y ont, entre autres été tournés.
Et enfin passage du Tizi-n-Tichka, le col dans le haut-Atlas entre Ouazazate et Marrakech et longue descente sur la palmeraie et Marrakech.
La ville n'a rien perdu de sa vitalité, bien au contraire. La place Jemma el Fna est toujours aussi trépidante avec quand même un certain changement. Il y a toujours les vendeurs de jus d'oranges et les gargotes, mais moins de conteurs et de marabouts et plus de musiciens. Par contre l'afflux de touristes et surtout de français et d'anglais acquéreurs de Riads dont l'écrasante majorité a été transformée en maisons d'hôtes a bien pourri les prix et les comportements.
Dans la kasbah du Glaoui à Ouarzazate
La kasbah d'Amerdihil ... et la route du désert à Zagora
Aux dunes de Tinfou............ et en attendant la décrue!
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